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LUNDI 31 OCTOBRE  2011

Et oui, mais voici enfin un nouveau texte!

BERLIN

Après avoir presque rien foutu pendant les trois premiers jours de mon deuxième séjours à Berlin, j'ai décidé d'hoster des voyageurs dans le besoins.

Il commençait à faire froid, pleuvoir et à faire noir très tôt. Berlin l'automne, j'ai vu que c'était mort. Constatation que Katarina et moi avions fait, lors d'une balade nocturne en vélo. Donc parce que Kata allait voir son frère pour sa fête pour quelques jours, je me suis dis si je voyais une ou deux personnes dans le besoin sur couchsurfing, je les hosterais. Facilement, trois personnes recherchaient un endroit pour quelques jours, moi je pouvais, mais juste une nuit. On se promenait dans Berlin durant l'après-midi, recherchant des squats où ils pouvaient dormir pour les jours à venir. On demandait aux punks, à n'importe qui, on a visité quelques-uns, mais aucun pouvait les prendre. Ce jeudi soir là, David, le jongleur mexicain, pis moi sommes allé voir un show dans un squat. Ok pour l'expérience, mais criss la musique c'était de la marde. La bière était tellement pas chère que je me suis pactké, pis après j'ai mangé une méchante bonne pizza pour deux euros, le genre de pizz qu'à Québec tu payes 10 piasses. Même au squat le plus connu, Tachales, les gens voulaient pas d'eux autres. Je leur ai dit qu'ils pouvaient bien dormir vendredi soir aussi, mais que samedi c'est dehors à coup de pied dans l'cul à 7h30 du matin, parce que moé j'pars en Pologne. Ils avaient pas trop le choix d'accepter et de se soumettre ma condition. Mais non calice, à ma grande surprise, samedi matin en me réveillant, ils étaient pas là! J'ai donc fait leurs criss de sacs, le ménage de la chambre, tout ca veut dire... Ça m'avait tellement faite chier. Non seulement pour moi, mais pour mon amie Kata aussi.
Quand chu parti à 7h40, je me suis dit; qu'ils mangent dla marde! Par contre, en général, j'ai bien apprécié l'expérience vécu avec eux, dans la rue, tout le monde nous regardait, David était tellement ''Mexicain'', une fois, je demandais la direction à une belle fille, et il a assayé de l'embrassé. Ha oui, il parlait pas anglais, donc fallait que je pratique mon espagnol.

La Pologne
Juste partir de Berlin, c'était quelque chose. Les métros étaient en réparations, les alternatives étaient incompréhensives, surtout quand on ne parles pas allemand. Deux Polonais m'ont pris, j'avais écris PL sur mon papier. Par malchance, ils m'ont laissé sur une route secondaire avec que de la circulation locale. Après cinq ou six voitures, et même pas 40 km de fait puis une longue attente, un groupe de musique qui allait à Poznan pour jouer m'ont pris. J'étais là chanceux parce qu'ils m'ont vraiment sorti d'la marde. Je vous ai dit que je suis parti de l'appart à Berlin à 7h40, rendu à Poznan, j'ai poucé 1 heure avant que le soleil se couche. Sans succès, j'ai pris le train pour Varsovie (Warszawa), quatres heures de rails. Enfin là, à 22h, toujours sans avoir rien mangé de la journée, j'ai été rejoindre mon amie Elzbieta pour faire la fête. Heureux comme chien étais-je. J'ai vriament tombé sous le charme de la Pologne. On dirait un pays où la société est 20 ans en arrière sur l'occientale.
Sur le plan économique, c'est vrai, tout est moin chère. Les autobus des années '70, la folie des gens, le stop qui marche bien, il n'y a presque pas d'autoroutes, et les filles sont belles.  J'ai eu la chance de vivre dans la cité unversitaire de Lublin, où j'ai visité un camp de concentration. Ça c'est un truc qui ma marqué, jamais j'ai vu la 2e gerre d'aussi près. Puis dans la ville, tout était cheap, j'ai tripé là, les bars, les resto et les bars. À Cracovie, j'étais un peu plus fatigué, mais j'ai pu danser dans une fête traditionnel polonaise. Whao, le party était pogné! Tout le monde était costumé, les musiciens, les danses traditionnelles, les filles, la ville qui est fantastique... J'ai vraiment tombé sous le charme de ce merveilleux pays.

Lituanie
Elzbieta et moi avions pris l'autobus à trois euros pour aller à Vilnius. C'est comme ça l'europe, des fois, tu pognes des méchants barguins.
Imaginez faire Montréal-Saguenay pour 5$, ta l'air d'un fou quand tu dis ça. La bière est bonne, les gens très accueillant et sympatiques.
Une très belle ville, les gens semblent fiere d'être libre de l'URSS aussi. Merci à Elzbieta pour m'avoir supporté!

Lettonie
C'est très intéressant pour un québécois de voir les situations dans les pays baltes. Les lituaniens se sentent libre et en contrôle de leur langue et de leur culture. Mais les Létons, plusieurs sont méfiant et protecteur face aux étrangers. Des disputes avec les étrangers semblent fréquents, parce que souvent l'étranger est russe. Ou sinon, si tu parles anglais ou russe, quelques-uns peuvent se moquer ou se calicer de toi. C'est ce que j'ai pu voir, entendre, comprendre et vécu. C'est une drôle de position, je ne crois pas que c'est du rascisme, mais de la rancune politique et du désir de vouloir conserver son identité. Ceci dit, depuis jeudi je profites de Riga, qu'on dit la capitale de pays baltes. Avec Mara et ses amis, on fait la fête et profitâmes de la vie. Puis demain la KHL à Riga!

Encore une fois, s'il vous plait calice, mettez dont mon blogue dans vos favoris, écrivez dont des commentaires, corrigez-moi!

Je vous souhaite un beau mois de novembre!

Ciao bello,

Nicolas



DIMANCHE 1er OCTOBRE 2011


A danish bad trip!


Je fais du pouce depuis maintenant cinq mois, mais ces derniers jours, je n'ai pas été chanceux.
Après avoir resté qu'une fin de semaine à Hamburg, j'allais voir un ami à Lüneburg, c'est à moins de 50 kilomètres. J'ai été faire du stop à un spot qui, selon hitchwiki.org, était le meilleur pour aller à Lüneburg. Fuck all, j'ai attendu 3 heures là, sans avoir bougé, et les gens allaient tous dans l'autre direction.
J'ai finalement été prendre le train. J'étais super content de revoir mon ami Fred, que j'avais rencontré à Bilbao dans le pays Basques, il m'attendait avec un buffet pour moi. Je me suis bourré la gueule, moi qui avais rien mangé de la journée.

Le lendemain, j'allais à Copenhague, au Danemark. J'étais bloqué à une station service avant Hamburg. Après une heure, une folle de la Roumanie m'a pris. J'ai déjà eu une drôle d'expérience avec un camionneur roumain, où j'ai dû lui payer un paquet de cigarettes, quand j'allais à Paris le 9 juillet dernier. Bon, ça s'annonçait drôle, elle me disait tout le temps << Pourquoi tu parles pas ?>> Criss, chaque fois que je parlais, elle répondait presque pas, elle éteignait la conversation. Finalement, on a pris le ferry pour aller à Copenhague. Mais le truc, c'est qu'elle ma baisé de 13 euros... Et on s'est fait contrôler par la police Allemande. Mettons qu'elle était pas très vierge, dans le sens où il devait avoir quelques notes dans son dossier personnel. On a entendue presque une heure et demie, je me demandait si elle allait se faire arrêter ou pas.

Rendu à Copenhague, je devais aller chez ma host de couchsurfing, dans la banlieue. J'ai juste pris le bus, et voilà, huit euros! Huit euros pour l'autobus, c'est incroyable, je me suis dit vraiment que c'était la dernière fois que je paye 11 dollars canadien pour un criss de bus. Fallait vraiment que j'évite la banlieu si je voulais passer la fin de semaine à Copenhague. Bon, j'ai dormi chez une américaine étudiante, dans la résidence universitaire. C'était vraiment la seule chose que j'avais trouvé.

Ensuite, mon but était d'aller dans le centre-ville et dans le quartier Christiana, pour trouvé un endroit où dormir parmi ces gens marginaux. Mais, la pluie tombait à sceaux d'eau sur la ville, j'ai marché aussi une heure pour me rendre à la station de train le plus près, évidement pour éviter de payer 11$ pour l'autobus.
La première chose que j'ai fais, j'ai été voir le quartier Christiana évidement. J'ai été incroyablement déçu. ''Ça pas de but ste quartier là'' C'est juste un quartier de drogués, c'est pas du tout comme les gens me disaient, un quartier de partage basé sur les valeurs humaines. Anyway, en plus il pleuvait, je suis parti me cacher dans les stations de métro en attendant que le pluie cesse. C'est que vers 15h, que j'ai pu faire le tour de la ville. Vers 17-18h, j'ai pris un bout de carton, et écris ''Couchsurfer, I need a couch'' Après 5 minutes, une gentille jeune dame m'a emmené chez elle.

J'avais décidé de décalicer de ce pays de marde là. Tout est doublement chère, un temps de cul, les gens sont froid, ils ne sont pas chaleureux, quand tu leurs parles, c'est presque une menace. Donc, samedi matin, je suis parti pour Berlin.

L'histoire fini pas là. En gros, après avoir fait 6 voitures pendant toute la journée, il était 18h, à 40 km au nord de Hamburg. J'essayais toujours de me rendre à Berlin, sinon j'avais pas d'endroit où dormir. Mais personne allait vers l'est.
Il était évident que je devais trouver une autre solution. À huit heure pile, j'ai changé ma destination pour Hamburg. Je me disais que j'allais être chanceux. J'étais brûlé, affamé, et écoeuré. J'ai entendu cinq minutes, et une bonne âme m'a pris et m'a hébergé pour la nuit! Une mère mono parentale d'une fillette, qui travaillait de nuit en tant d'infirmière. Donc, pendant qu'elle travaillait, je me ressourçais chez elle, et d'ailleurs fait sa vaisselle. Sincère salutation à Sylvia!

Nicolas,
Dimanche 9 octobre 2011, Berlin





SAMEDI 1er OCTOBRE 2011


Presque la moitié!


Bon, j'approche tranquillement vers le 6ième mois de ce merveilleux trip.
Je suis tellement content de la chance que j'ai, de pouvoir faire ce que je fais.
Rien m'arrête, c'est pas 5 heures d'attente en faisant du pouce qui vont me faire chier.
Après, ça roule, il y a des gens super gentils, et d'autre super cons. La plupart sont accueillant.
Quand j'arrive et je dis ça fait 6 mois que je voyage... Ça veut dire aussi ça fait 6 mois que;
Je fais mon sac à tout les deux jours,
je fais du stop à tout les deux jours,
je dois trouver un endroit où dormir tout le temps,
je dépense sans gagné de l'argent, la plupart du temps,
je rencontre des gens, des amis aussi,
je pense à ma famille et amis de qui je m'ennuie.
Alors, c'est ça mon trip... ça prend du temps tout faire ça! Et quand j'ai un bon spot, mon sac déposé sous un toit avec un divan, et bien là je suis content en criss. Faire le tour de la ville, l'histoire, la langue, les amis, les partys, la bouffe, les cultures whatever chaque endroit est étourdissant, motivant pour la poursuite.


La Hollande, c'est merveilleux, le plus beau pays d' Europe. Il faut nuancer, je veux dire pour y vivre, la nature est incluse dans la société, les canals, les maisons fuckés, les filles trop belles, les coffee shops, la bière a 29 cènes, les étudiants. Les Hollandais sont absolument ouvert d'esprit, un peu comme moi, c'est toujours ''pourquoi pas?'' Avant la Hollande, j'étais en Belgique, le paradis de la bonne bière. Mais les petits conflits qui règnent là, font que les gens se méfient un peu. Les wallons surtout, se posent toujours trop de questions, et pourtant, ce n'est même pas eux qui sont supposément séparatistes. Ce que j'ai pu comprendre, les wallons croient qui les flamands sont séparatistes, il y a un parti au gouvernement qui l'est, mais dans les faits, quand on parle avec les flamants, tous m'ont clairement dit qu'ils sont contre aussi. Le truc, c'est que les wallon sont tellement lâche, parce qu'ils prennent exemple sur la France ou sont carrément presque français, aussi lâche, full de paperasse à s'en torcher le cul. Alors, les wallons voudrais donner toujours plus d'aide social, laisser les gens au chômage, s'endetter et léguer la marde au générations futurs. Par contre les flamands sont en désaccords pour endetter la Belgique, surtout, faut le dire, à cause des wallons. Enfin, c'est la raison pour laquelle les wallons ne sont pas séparatiste, sinon leur coin de terre ferait faillite.


Le texte précédent pourrait tout à fait être inexacte, mais moi, en une semaine de discussions avec pleins de monde, en gros, c'est bien ça que j'ai compris.
M'a changer de sujet, pour la première fois en 5 mois et demie, j'ai été contrôlé alors que je n'avais pas mon ticket. Je tremblais comme une feuille, je ne voulais pas payer 75 euros d'amende. J'étais à Gent, dans le tram avec mon stock, allant faire du stop pour Rotterdam. Et puis, j'avais dans mes poches pleins de petits papiers, même des billets de métro de Lyon, des factures, des notes whatever, et puis j'ai fais semblant d'avoir perdu mon billet. La contrôleuse a bien fini par comprendre que je n'avais mon billet, nanana je viens du Canada, j'avais juste autour de 2 euros en monnaie, rien d'autre, finalement, super gentille, j'ai payer le billet de tram 1.20! C'est mieux que 75 euros!


Et bien, plusieurs personnes m'ont dit que le stop en Hollande ça marchais pas. C'est faux, par contre, tout le monde pense que ça marche pas. Mais en réalité, chaque personnes qui m'ont pris, m'ont dit qu'il m'avait pris parce que le stop ça marchait pas! Mais au bout de la ligne, j'ai jamais entendue plus que 10 minutes. Bon, Den Haag, Utrecht et Amsterdam sont vraiment des villes géniales. Si vous passer dans ce pays, c'est trois ville là sont géniales. J'ai été à Delft, c'est beau, étudiants surtout, ça vaut la peine d'y passer aussi, mais Rotterdam, bof. Une semaine ici, c'est vraiment merveilleux, ce soir pour terminer, un party open-house bar open pour 6E! Du fun en masse! Et une bonne manière de terminer avant d'aller en Allemagne demain.


En terminant, ceux qui veulent, pouvez me laisser des commentaires, partager le lien du blog sur Facebook, m'envoyer des messages et me donner de vos nouvelles. D'après les statistiques du blog, il y a presque mille visites depuis sa création, mais quatre commentaires... Laissez-vous allez!


Ciao


Nicolas



LUNDI 19 SEPTEMBRE 2011


Enfin fini les vendanges! Je commençais à en faire des cauchemars!
Un ami que j'avais rencontré chez Montchevet, m'a emmené chez lui à Strasbourg.
J'ai pu relaxer et reprendre mes esprits pour la suite de mon voyage.
Donc je n'y ai été en stop, j'ai pris le train mais j'ai pas payé. Les contrôleurs m'ont donné une amende qu'ils vont m'envoyer par la poste... Si jamais je suis dans la merde, une bonne manière pour voyager, surtout qu'ils ne sont pas capable d'entrer mon code postale dans leur machine. Une petite histoire de ''Je me suis fait volé, j'ai rien pour payer'' et voilà. Donc, Strasbourg est à la frontière de l'Allemagne, j'y ai été acheter de la bonne bière, ce sans mon passeport. J'ai rencontré aussi le meilleur joueur  de hockey européen, Noé, le fils de Stéphane. Une famille super cool qui écoute de la criss de bonne musique.
Merci Stéphane et Litch pour votre accueille.



Alors Strasbourg c'est relativement bien, mais je me saoul à visiter les villes un peu, je suis plus à la recherche d'émotions fortes, c'est pourquoi j'ai bien faire du stop. J'ai resté à Strasbourg deux nuits, et parti ensuite en stop pour aller à Lille au nord de la France. Ça relativement été difficile par contre. Au début, je m'étais mis sur un spot au nord de la ville, où il y a que des concessionnaires des voitures de luxe. Il y avait que des BMW et des Audi qui passaient, après une heure trente, un mec en veston-cravate m'a prit. Par la suite, un truckeur roumain m'a emmené au Luxembourg et m'a même donné 10 euros pour manger. Après j'ai galéré en Belgique, mais un super Belge à fait un détour de 75km pour venir me porter au match de foot à Valenciennes, où j'étais attendue.
Je suis arrivé au stade en stop à temps pour la mi-temps, j'ai été vraiment chanceux. On a fait quatre buts après. Tout le stade m'attendait en fait! C'était la première fois que j'allais à un match de foot, j'ai crissement kiffé! Grâce à Nicolas et ses potes! Merci!
(Photo: Strasbourg vu de Kehn, Allemagne)


À Lille, j'ai pu visiter en V'Lille la ville. Avec Nicolas, on est allé au Palais des beaux-arts, où j'ai pu en apprendre sur les tableaux de Francisco de Goya. Il semble y avoir une belle ambiance à Lille, j'aurais aimé passer un peu plus de temps ou un autre weekend ici.
Bon et bien tanto je vais à Valenciennes! et après la Belgique...


Nicolas





JEUDI 8 SEPTEMBRE 2011


Les vendanges 2011


Je reviens tout juste de faire les vendanges au domaine Matray, dans le Beaujolais. Encore tout frais revenu, je m'ennuie déjà de l'ambiance qui raignait là. On me disait que les vendanges c'était dur, mais, l'ambiance au domaine était absolument trop génial. Des jeunes et des moins jeunes... Du vins et de la bière en masse! J'ai pu faire des rencontres incroyables, des gens de qui je m'ennuie déjà. Ce fut une expérience enrichissante, je souhaite à tous de pouvoir faire ça. Par contre, j'étais tombé sur un bon domaine généreux et respectueux des vendangeurs. Je suis présentement chez un autre vigneron, je viens de finir ma première journée de boulot, ici, ce n'est pas la beuverie. J'ai le pied pété présentement, je me demande toujours si je vais à l'hopital ou non. Le pharmacien que j'ai vu à Lyon m'a dit que c'était surement une fissure. Ça me fait chier en tabarnak, depuis samedi, toujours le même criss de mal, je ne peux pas appuyer sur mon talon. Bon, ça c'est le feeling que j'ai présementent.


Alors, j'ai pas mis de texte dernièrement sur mon blog, justement parce que c'était toujours la fête au domaine, on a tous bu comme des trous. Trop de fun en même temps. Mais au bout de la ligne, ça c'est passé trop vite, je voudrais revenir en arrière... aussi pour éviter mon petit accident de tabarnak. Quand je pense à Yohann le breton avec qui j'ai bien rit, à l'attachante Mara, une létone qui m'étonnait toujours. Après, Philémon, à qui je souhaite le meilleur qui puisse arriver pour lui. Marie (Liam) avec qui je pouvais déconner sans limites. Sans oublier la petite Elzbieta, une lituanienne simplement formidable. Mais tout les autres aussi merci pour votre présence, merci Léa pour ta gentillesse. Boris, Bruno, Joseph, Camille, Dorine, Marie de Lyon, j'ai peur d'en oublier. Je vais toujours garder de bon souvenirs de vous tous. Pendant dix jours, je me suis senti dans une famille, ce que j'avais pas pu connaître depuis maintenant 5 mois.


Merci au domaine, à Lilian et Sandrine, continuez ainsi si vous plait, vous créez un petit univers fantastique. Tout les autres que j'oublie, désolé, surtout les cuisinières super gentilles.
Matray pour toujours! Merci à Sophie, une bretonne que j'ai rencontré à Toulouse, qui vient s'installer à Montréal bientôt. C'est grâce à elle si j'ai vécu ça. Bonne chance au Québec, si t'as besoin d'aide ou d'un toit à Québec, demandes le moi.


Bon, on dirait que je fais le point! Après m'être blessé dans les cévennes, la coloc de Toulouse m'ont encore une fois accueilli. Sans vous j'aurais été dans la merde, j'aurais été à l'hopital dans chez pas trop quelle ville et pas d'endroit où dormir... Pendant cinq jours, vous m'avez enduré dans votre appart alors que je marchais en béquilles. Après c'était mieux, mais j'étais toujours là!
Bonne chance à Ottawa mon chère Matthieu, et à Michelle aussi. Claire, succès pour ta prod! Claire, bon chance avec le boulot et tes aventure chiliennes! Julie et Thomas! Merci grandement pour votre aide. Du coup, j'aurais besoin de toi Julie pour regarder mon pied pété hahaha! Mais calice, au bout de la ligne, c'est Philip qui ma vu à la place du capitole et qui m'a inviter à l'appart. Je revenais de la Bretagne pluvieuse et j'étais sans toit. Merci à tous!


Pour finir, je suis chez Didier Monchevet, près de Beaune. C'est pas mal, mais c'est pas trop la fête. C'est peut-être bon pour moi finalement. Après, je pars vers l'europe de l'est, mais j'ai peur-être un plan pour faire des vendanges en Suisse. Puis la Pologne et les pays Baltes... si tout se passe bien, j'irais voir un match de hockey KHL en Letonie!


Ciao chères amis


Nicolas


PS: J'ai été à l’hôpital aujourd'hui, rien de cassé! Juste bien ramassé! Je vais prendre des Advils pour faire passer la douleur... c'est tout, fini les inquiétudes!




JEUDI 18 AOÛT 2011


La route vers le Portugal


Pendant que je suis incapable de me déplacer, je vais bien mettre un autre message.


J'étais à Montpellier, une ville que je ne réussissais pas à apprécier. Je m'étais trouvé un boulot, fallait que je me trouve une coloc, puis bon je n'avais eu le goût de m'installer finalement. Puis Raphael, mon meilleur pot, m'a dit qu'il, sur un coup de tête, qu'il allait au Portugal. J'ai fais ''j'viens te rejoindre'' Je suis parti le lendemain... à Barcelone, qui était déjà prévu dans mon itinéraire. Après trois jours à Barcelone, dont deux jours de pluie, je suis parti en stop pour le Portugal.
C'est une traversé interminable et dure moralement que j'ai vécu. On dit de l'Espagne, le pays le plus difficile pour y faire du stop. J'étais motivé pour faire 1174KM d'auto-stop, en deux jours.
Jour1, Début Juin
Je suis parti de Barcelona, le matin, pris un train pour m'amener vers l'extérieur de la ville. Une idée en tête, me rendre à Porto. À la sortie de la gare, j'ai marché aux travers d'un village, me dirigeant vers l'autoroute. J'avais déjà ma pancarte, je marchais et puis un mec m'a pris. Ça c'est de la chance! Direction Lleida. Le mec m'a même donné une carte routière de l’Europe, parlait anglais un peu en plus. Mais, pour me rendre service... parce qu'il croyait me rendre service, il m'a laissé à une station service, près d'une route national... mauvaise idée. Leçon numéro 1: les espagnols ne savent pas c'est quoi faire du stop, ils en ont jamais fais, et ils prennent jamais de stoppeurs... donc, ne pas écouter leur conseils de marde! J'ai resté ben, mais ben pogné là. À la station service, les gens avaient peur de moi ou m'envoyait chier, ils ont appelé la police aussi. Ils sont venue, mais, c'était bien claire que j'étais qu'un étranger sans danger. Ils ne m'ont même pas parlé, mais me surveillaient. J'ai pris une marche et revenue, ça me gênais de faire du stop avec des polices, et qui va prendre un pouceux à coté d'une police? Après 3h ou 4h d'attente, un mec m'a pris pour 10 minutes. Enfin. Et là ou il m'a emmené, je voyais l'autoroute. J'ai marché plus de 30 minutes. Et un couple m'a pris. Des vieux retraités super sympa. On avait du mal a communiquer par contre, mon espagnol n'est pas très aiguisé. Mais je crois qu'ils me trouvaient débile de vouloir aller jusqu'au Portugal. Ils m'ont arrêté à Miranda de Ebro, ça doit être un trou ça. J'ai quand même fait 350km avec eux. C'est drôle, quand j'ai débarqué de l'auto, il avait 5-6 policiers, qui assistait à la scène. Un mec qui descend avec son sac, sa pancarte, des salutations sincère du vieux bonhomme avec même une accolade, parce que le vieux était mal de me laisser filer et avait peur pour moi je crois. Même pas installé au péage, les policiers viennent me voir. Bon, j'ai pas trop le droit, mets toi ici, non là-bas, pas trop proche de nous... Bon, j'avais quand même le respect des policiers, qui, ayant assisté à la scène, avaient bien vu que j'étais juste un jeune voyageur. Après 30 minutes d'attente, un flic est venu et m'a dit de venir avec lui. Je comprenais pas trop, mais j'ai dit ok, on est quand même pas au Mexique là.
Ils m'ont amené à l'autre entré de péage plus loin, qui était plus achalandé. Ben gros merci la police!
J'ai resté là une heure et un jeune camionneur m'a pris. Direction Burgos. Il était 9h30, j'y ai dit que j'avais pas trop d'endroit ou dormir, mais n'osait pas m'inviter chez lui. Tant pis. Je suis sorti du camion, et un temps menaçant s'annonçait. Fallait que je me trouve un toit. Sous les viaducs, c'était presqu'impossible, en plus je risquais de me faire voire, et avec le bruit, bye le sommeil. Je voyais au loin une petite cabane, c'était genre un vieux poste de contrôle de la forêt ou de quoi du genre. Un beau toit d'au moins deux mètres de large, six de long. Et aussitôt arrivé là, la pluie tomba. J'ai fait le saut et commençais à angoisser! Au moins une vingtaine de chauves-souris sont venue me rejoindre pour s'abriter! Calice. Elles ne s'arrêtaient pas de crier, sûrement parce qu'elles avaient faim. J'ai pas trop dormi finalement, ha pis il faisait frette en plus.
Jour2
À 5h du matin, j'étais déjà en train de stopper. Vers 6h, un mec m'a pris, pour genre 20 minutes, mais sur la route , il m'a offert un café, ça partait bien ma journée.
 Après, voilà, du 30 minutes d'attente, 15 minutes de truck, c'était que ça. Vers 15h pm, j'étais déjà à l'entrer du Portugal. Un des pires monsieur que j'ai côtoyé m'a pris. Pour genre 25km, mais au moins, on passait la frontière, enfin j'étais au Portugal. Rendu là, j'étais dans un trou! Aucun moyen de sortir de là, sauf par l'autoroute. Je sais que je n'avais pas le droit, mais, j'ai tenté. Après une heure de marche, sous le soleil, le sac à dos et le ventre vide, les policiers ont intervenu. On a longuement dicsuté, un des trois parlait français, une chance. Bla bla bla j'ai pas le droit je sais nanana, du Canada na na... ils m'ont embarqué et emmené à la gare de train.
C'était soit ça, ou un ticket de 50 euros. Finalement, j'ai pris le train pour 11 euros! Je me rendais donc à Porto, là j'avais presque atteint mon but. J'avais pas trop de nouvelles de Raphael et les filles, Marie-Ève et Camille. Enfin arrivé à Porto, j'ai pu lire sur mon iPod Touch qu'ils seraient dans un hostel du centre-ville, vers 9H pm. Il était 8h alors, j'avais tellement tellement hâte de revoir mon pot et les filles aussi, j'étais posté devant l'hostel, les larmes aux yeux. Pendant mon attente, Raph a soudainement sorti sa tête de la fenêtre et dit << Haye Nic!>> J'ai fondu en larmes, j'avais tellement hâte de brosser avec lui!




Nicolas




LUNDI 15 AOÛT 2011


Les Cévennes


Jour1 Vendredi 12 août
J'étais à Toulouse et on ma invité dans les Cévennes.
On ma dit que c'était un endroit super géniale et vraiment chouette ,dans les montagnes et les rivières.
Pourquoi pas. Je suis parti et arrivé dans cette région, qui est un parc national, avec les yeux fatigué de la route, j'étais sans mot, comme si j'écoutais un film hypnotisant par sa beauté. Voilà, c'était aussi la fête d'un petit village, un méchant trou, qui fait un peu penser à Cabano au Québec, mais en moins bien quand même. Un bar, un resto. Qui, sans concurrence, offrait une ambiance de mononc qui met de la pop avec une toune de the offspring en plein milieu du set. J'étais par contre avec des amis très sympas, avec qui j'ai eu beaucoup de plaisir. À la scène c'était pas mieux, un dj qui mettait des tounes de merdes. J'arrive pas à comprendre pourquoi certains villages, comme Veracruz au Mexique, et là, à Vialas, ils organisateurs mettent n'importe quoi comme musique. Ils devraient plutôt mettre des chansons et ou des musiciens qui font rappelé les coutumes du village. Imaginez qu'à la St-Jean on mettait de Lady Gaga?! Anyway.


Jour2
On s'était levé à midi sur le bord de la ''plage'', à la rivière, une dame n'avait pas trop l'air d'être contente de nous voir là. Faut dire que c'est un lieu public et très familiale, il y avait déjà quelques personnes. Quand je suis sorti de la tente, j'ai fait le saut, j'avais aucune idée pourquoi on s'était mis là! Faut dire la veille on voyait rien, j'avais même mis ma tente sur une criss de grosse roche! Notre ami Vincent partait pour rejoindre un pot, nous, allâmes dans les petites rocheuses pour se baigner. Enzo, que je surnommait Robert (à l'anglaise), nous a amené à la rivière, nous étant Axel, Anouk et moi même. Magnifique endroit, l'eau bonne et accompagné de jolies filles. C'était au top jusqu'au moment où je me suis blessé. Aucune idée pourquoi j'ai décidé de me foutre le pied là.
Le soir, c'était encore la fête du village avec le criss de même bar. Mais au moins à la scène, il y avait un vrai band qui jouait. On est allé rejoindre un peu plus tard d'autres amis près de la rivière où nous allions dormir. Mon pied m'avait prit quand même beaucoup d'énergie, j'étais fatigué. Avoir été en forme j'aurais tripé, Robert asseyait de faire un feu, il y avait une shisha et restait de la bière. Mais bon.


Jour3
Je me suis levé et compris assez rapidement que j'étais pas en mesure de me balader avec les autres aux travers de cette région. J'ai quitté avec un peu de regret mais avec la tête haute et sagesse. La route fut difficile. Mon sac pesant aussi. J'ai d'abord été pris pour moins de 5 minutes. Puis un couple de vacancier mon amené sur l'autoroute, à une station service où j'ai rencontré au moins 7 auto-stoppeurs. J'ai attendue à peu près 30 minutes avec une femme d'environ 35 ans, qui allait aussi sur Toulouse. On était absolument pas sur la même longueur d'ondes. Quand je me suis rendu compte qu'elle était folle et vraiment pas ouverte d'esprit, je me suis séparé d'elle. Sage décision, j'ai rencontré un autre polonais, l'aire d'autoroute était vraiment vaste avec un resto, un parc et une station service. On était en train de se présenter quand tout à coup un ange est venue. Une fille d'environ 24 ans, full open. Elle m'avait vu boité avec mon sac. Dans son auto par contre, il y avait qu'un siège, parce qu'elle avait emménagé dans sa van, un lit pour dormir... parce qu'elle allait au rainbow au Portugal. J'ai alors fait la route couché sur son lit! Avec la vue sur l'autoroute, je me sentais comme un oiseau qui volait dans la liberté, avec deux jeunes super open-minded qui allait dans un rainbow... Je les enviaient, moi j'allais encore une fois à Toulouse, pour désinfecter et panser ma plaie. Je n'avais rien mangé de la journée, brûlé et écoeuré. Je remercie la ''coloc'' de Toulouse, énormément pour votre aide.


Nicolas



LUNDI 8 AOÛT 2011

Les Pays-Basques



Bon aller! Sur la route des Basques. Jour 1, 29 Juillet 2011
Je partais de Toulouse, alors, vous savez, lorsqu'on fait de l'auto-stop, les plus difficile c'est de sortir de la ville. Donc, pour commencer, j'étais déjà sur le mauvais côté de l'autoroute! Un couple de vignerons m'ont alors pris à une station d'essence, ils m'ont convaincue de faire les fêtes de Bayonne. Ils étaient artisans vignoble, donc, pas de boulot pour moi. Arrivé là à Bayonnes, j'ai fait la fête avec des Marseillais drôlement généreux, whisky-cola, et peanuts. Vous savez comment je m'y prend pour rencontrer des gens? Même moi je sais pas, j'arrive et je dis ''aye salut'' pis la avec mon gros sac pis ma guitare, il est évident que je viens pas de la place. Alors, pour passer la soirée, j'ai mis mon stock dans leurs voitures... Alright, léger comme une plume, j'tallé me packté! En allant pisser, j'ai rencontré des amis de mon âge, de l'endroit en plus. Des discussions sur les Basques, des extasies et de la coke. Mais moi, je préférais prendre de l'alcool ceci dit. Internet, c'est un lieu public, on ne peut pas dire n'importe quoi, surtout si je met mon vrai nom. Finalement je me suis bourré et planté ma tente à 6h du matin.
Jour 2
J'étais tellement magané, je voulais juste décrisser de Bayonne. J'ai été à San Sebastian dormir sur la plage. C'est seulement qu'à 40 minutes de Bayonnes, mais ça ma pris au moins 3 heures m'y rendre. Ceci dit, San Sebastian, c'est une magnifique ville, avec sa plage, sa chaleur et sa rivière qui passe au centre-ville. Une petite ville sympathique. J'ai pu trouver à dormir sur une montagne, à 45 minutes à pied du centre. Arrivé là haut, des sans-abris algériens squattaient la place. On a ressemblé notre bouffe et fini par avoir un dîner pas pire. Leurs bouffes venaient des poubelles de supermarchés. Mais c'était pas mauvais quand même! Des drôles de discutions aussi pour alimenter la soirée.
Jour 3
Le lendemain, j'ai rencontré sept Italiens. Ils partaient faire une randonné dans les sentiers de compostel. Je les ai suivi. Sage décision, quel paysages j'y ai vu! J'ai forcé mais eu bien du plaisir. Faut aussi dire qu'ils étais bien sympa et nous sommes maintenant amis. Ça compte 17 kilomètres à pied en fait, de San Sebastian jusqu'à Orio. Quelques photos sur Facebook.
Jour 4
Départ le matin d'Orio, pour aller à Zarauts, 3km. On croyait y faire du surf, mais par manque de chances, il n'y avait pas asser de vagues, donc pas de surf, mais la plage quand même! Le soir, nous prenâmes le train pour se rendre à Mundaka. Vraiment un beau village, la mer et les vallées. C'est réputé pour être un des meilleurs endroit d'europe pour faire du surf.
Jour 5
Pas de chances non plus, pas de vagues et une température de merde à l'horizon. Eux, ils voulaient marché encore un autre dix kilomètres. Moi j'en avais assez, et je commençais à ressentir de la fatigue musculaire. Qui est devenu un bon rhume musculaire. Donc, on s'est séparé. J'ai pris le train et allé a Bilbao. Arrivé là vers 2h pm, je tournais en rond et vu des backpackers, aye salut! Trois allemands aussi sympathiques et ouvert d'esprit. J'ai passé la journée avec eux. Ils m'ont fait prendre mon passeport du chemin del Norte, qui va me servir absolument à rien finalement. Pour dormir, nous avions décidé de prendre un bus et de sortir de la ville. Arrivé là, c'était pratiquement de la science fiction. Une horreur lamentable. Je veux même pas me rappeler le nom de criss de village de pas de couilles là. C'était, sur le coté nord de la ville, un port pétrolier, une raffinerie de pétrole, avec pleins de lumières, c'était plus gros que trois villages. On y était le soir, c'était spectaculairement dégueulasse. J'avais pu de piles pour prendre ça en photo, mais tant mieux. On a marché deux ou trois kilomètres, sur la route qui séparait la raffinerie du village. Avec ma grippe en plus, j'étais écoeuré. Finalement on s'est pogné un trou ou mettre nos tentes.
Jour 6
Je feelais tellement pas, j'ai décidé de revenir à Toulouse. J'ai pris la route en stop. L'autoroute n'était pas tellement loin de notre spot, genre 30 minutes. Mais en Espagne, le stop, c'est difficile. On attend 1h ou 2, parfois pour avoir un lift de 30 kilomètres. Finalement, j'étais rendu à Tarbes vers 20h. Mauvaise surprise, descendue de la voiture, j'ai vu deux filles qui faisaient du stop aussi. Ça faisait 2 heures qu'elles entendaient, deux meufs, ça attend pas 2 heures en France, c'était juste un mauvais spot. J'ai décidé de changer de plan après 15 minutes. J'ai pris une feuille et écris ''Sortez-moi d'ici SVP''. Un couple se sont arrêté après 5 minutes. J'ai accepté de retourner à Pau, pour mieux avancer ensuite. Après discussions sympathiques, ils m'ont invités à voir Yaël Naïm en concert à Pau, et dormir chez eux après. Wow, ça c'est de la chance. Mon tripe Basques se termine ainsi, un concert bien et des gens simplement généreux.
Jour 7
Retour à Toulouse, Charlotte la copine de Ian, le couple qui m'ont pris la veille, m'a emmené à l'autoroute. J'ai écris ''Toulouse'' sur ma carte, en acceptant le fait que j'allais attendre une heure parce que c'est loin. Puis justement après une heure, un policier hors services m'a pris. Quels incroyables histoires j'ai pu entendre en revenant, des histoires de drogues, viols, vols et de violences des banlieues de Paris, où il était affecté.

Voilà!

Nicolas