LUNDI 31 OCTOBRE 2011
Et oui, mais voici enfin un nouveau texte!
BERLIN
Après avoir presque rien foutu pendant les trois premiers jours de mon deuxième séjours à Berlin, j'ai décidé d'hoster des voyageurs dans le besoins.

Quand chu parti à 7h40, je me suis dit; qu'ils mangent dla marde! Par contre, en général, j'ai bien apprécié l'expérience vécu avec eux, dans la rue, tout le monde nous regardait, David était tellement ''Mexicain'', une fois, je demandais la direction à une belle fille, et il a assayé de l'embrassé. Ha oui, il parlait pas anglais, donc fallait que je pratique mon espagnol.
La Pologne

Elzbieta et moi avions pris l'autobus à trois euros pour aller à Vilnius. C'est comme ça l'europe, des fois, tu pognes des méchants barguins.
Imaginez faire Montréal-Saguenay pour 5$, ta l'air d'un fou quand tu dis ça. La bière est bonne, les gens très accueillant et sympatiques.
Une très belle ville, les gens semblent fiere d'être libre de l'URSS aussi. Merci à Elzbieta pour m'avoir supporté!
Lettonie
Encore une fois, s'il vous plait calice, mettez dont mon blogue dans vos favoris, écrivez dont des commentaires, corrigez-moi!
Je vous souhaite un beau mois de novembre!
Ciao bello,
Nicolas
DIMANCHE 1er OCTOBRE 2011
A danish bad trip!
Après avoir resté qu'une fin de semaine à Hamburg, j'allais voir un ami à Lüneburg, c'est à moins de 50 kilomètres. J'ai été faire du stop à un spot qui, selon hitchwiki.org, était le meilleur pour aller à Lüneburg. Fuck all, j'ai attendu 3 heures là, sans avoir bougé, et les gens allaient tous dans l'autre direction.
J'ai finalement été prendre le train. J'étais super content de revoir mon ami Fred, que j'avais rencontré à Bilbao dans le pays Basques, il m'attendait avec un buffet pour moi. Je me suis bourré la gueule, moi qui avais rien mangé de la journée.
Ensuite, mon but était d'aller dans le centre-ville et dans le quartier Christiana, pour trouvé un endroit où dormir parmi ces gens marginaux. Mais, la pluie tombait à sceaux d'eau sur la ville, j'ai marché aussi une heure pour me rendre à la station de train le plus près, évidement pour éviter de payer 11$ pour l'autobus.
La première chose que j'ai fais, j'ai été voir le quartier Christiana évidement. J'ai été incroyablement déçu. ''Ça pas de but ste quartier là'' C'est juste un quartier de drogués, c'est pas du tout comme les gens me disaient, un quartier de partage basé sur les valeurs humaines. Anyway, en plus il pleuvait, je suis parti me cacher dans les stations de métro en attendant que le pluie cesse. C'est que vers 15h, que j'ai pu faire le tour de la ville. Vers 17-18h, j'ai pris un bout de carton, et écris ''Couchsurfer, I need a couch'' Après 5 minutes, une gentille jeune dame m'a emmené chez elle.
L'histoire fini pas là. En gros, après avoir fait 6 voitures pendant toute la journée, il était 18h, à 40 km au nord de Hamburg. J'essayais toujours de me rendre à Berlin, sinon j'avais pas d'endroit où dormir. Mais personne allait vers l'est.
Il était évident que je devais trouver une autre solution. À huit heure pile, j'ai changé ma destination pour Hamburg. Je me disais que j'allais être chanceux. J'étais brûlé, affamé, et écoeuré. J'ai entendu cinq minutes, et une bonne âme m'a pris et m'a hébergé pour la nuit! Une mère mono parentale d'une fillette, qui travaillait de nuit en tant d'infirmière. Donc, pendant qu'elle travaillait, je me ressourçais chez elle, et d'ailleurs fait sa vaisselle. Sincère salutation à Sylvia!
Nicolas,
Dimanche 9 octobre 2011, Berlin
SAMEDI 1er OCTOBRE 2011
Presque la moitié!
Bon, j'approche tranquillement vers le 6ième mois de ce merveilleux trip.
Je suis tellement content de la chance que j'ai, de pouvoir faire ce que je fais.
Rien m'arrête, c'est pas 5 heures d'attente en faisant du pouce qui vont me faire chier.
Après, ça roule, il y a des gens super gentils, et d'autre super cons. La plupart sont accueillant.
Quand j'arrive et je dis ça fait 6 mois que je voyage... Ça veut dire aussi ça fait 6 mois que;
Je fais mon sac à tout les deux jours,
je dois trouver un endroit où dormir tout le temps,
je dépense sans gagné de l'argent, la plupart du temps,
je rencontre des gens, des amis aussi,
je pense à ma famille et amis de qui je m'ennuie.
Alors, c'est ça mon trip... ça prend du temps tout faire ça! Et quand j'ai un bon spot, mon sac déposé sous un toit avec un divan, et bien là je suis content en criss. Faire le tour de la ville, l'histoire, la langue, les amis, les partys, la bouffe, les cultures whatever chaque endroit est étourdissant, motivant pour la poursuite.

Le texte précédent pourrait tout à fait être inexacte, mais moi, en une semaine de discussions avec pleins de monde, en gros, c'est bien ça que j'ai compris.


En terminant, ceux qui veulent, pouvez me laisser des commentaires, partager le lien du blog sur Facebook, m'envoyer des messages et me donner de vos nouvelles. D'après les statistiques du blog, il y a presque mille visites depuis sa création, mais quatre commentaires... Laissez-vous allez!
Ciao
Nicolas
LUNDI 19 SEPTEMBRE 2011
Enfin fini les vendanges! Je commençais à en faire des cauchemars!
Un ami que j'avais rencontré chez Montchevet, m'a emmené chez lui à Strasbourg.
J'ai pu relaxer et reprendre mes esprits pour la suite de mon voyage.
Merci Stéphane et Litch pour votre accueille.
Je suis arrivé au stade en stop à temps pour la mi-temps, j'ai été vraiment chanceux. On a fait quatre buts après. Tout le stade m'attendait en fait! C'était la première fois que j'allais à un match de foot, j'ai crissement kiffé! Grâce à Nicolas et ses potes! Merci!
(Photo: Strasbourg vu de Kehn, Allemagne)
À Lille, j'ai pu visiter en V'Lille la ville. Avec Nicolas, on est allé au Palais des beaux-arts, où j'ai pu en apprendre sur les tableaux de Francisco de Goya. Il semble y avoir une belle ambiance à Lille, j'aurais aimé passer un peu plus de temps ou un autre weekend ici.
Bon et bien tanto je vais à Valenciennes! et après la Belgique...
Nicolas
JEUDI 8 SEPTEMBRE 2011
Les vendanges 2011

Matray pour toujours! Merci à Sophie, une bretonne que j'ai rencontré à Toulouse, qui vient s'installer à Montréal bientôt. C'est grâce à elle si j'ai vécu ça. Bonne chance au Québec, si t'as besoin d'aide ou d'un toit à Québec, demandes le moi.
Bon, on dirait que je fais le point! Après m'être blessé dans les cévennes, la coloc de Toulouse m'ont encore une fois accueilli. Sans vous j'aurais été dans la merde, j'aurais été à l'hopital dans chez pas trop quelle ville et pas d'endroit où dormir... Pendant cinq jours, vous m'avez enduré dans votre appart alors que je marchais en béquilles. Après c'était mieux, mais j'étais toujours là!
Bonne chance à Ottawa mon chère Matthieu, et à Michelle aussi. Claire, succès pour ta prod! Claire, bon chance avec le boulot et tes aventure chiliennes! Julie et Thomas! Merci grandement pour votre aide. Du coup, j'aurais besoin de toi Julie pour regarder mon pied pété hahaha! Mais calice, au bout de la ligne, c'est Philip qui ma vu à la place du capitole et qui m'a inviter à l'appart. Je revenais de la Bretagne pluvieuse et j'étais sans toit. Merci à tous!
Pour finir, je suis chez Didier Monchevet, près de Beaune. C'est pas mal, mais c'est pas trop la fête. C'est peut-être bon pour moi finalement. Après, je pars vers l'europe de l'est, mais j'ai peur-être un plan pour faire des vendanges en Suisse. Puis la Pologne et les pays Baltes... si tout se passe bien, j'irais voir un match de hockey KHL en Letonie!
Ciao chères amis
Nicolas
PS: J'ai été à l’hôpital aujourd'hui, rien de cassé! Juste bien ramassé! Je vais prendre des Advils pour faire passer la douleur... c'est tout, fini les inquiétudes!
JEUDI 18 AOÛT 2011
La route vers le Portugal
Pendant que je suis incapable de me déplacer, je vais bien mettre un autre message.
J'étais à Montpellier, une ville que je ne réussissais pas à apprécier. Je m'étais trouvé un boulot, fallait que je me trouve une coloc, puis bon je n'avais eu le goût de m'installer finalement. Puis Raphael, mon meilleur pot, m'a dit qu'il, sur un coup de tête, qu'il allait au Portugal. J'ai fais ''j'viens te rejoindre'' Je suis parti le lendemain... à Barcelone, qui était déjà prévu dans mon itinéraire. Après trois jours à Barcelone, dont deux jours de pluie, je suis parti en stop pour le Portugal.
C'est une traversé interminable et dure moralement que j'ai vécu. On dit de l'Espagne, le pays le plus difficile pour y faire du stop. J'étais motivé pour faire 1174KM d'auto-stop, en deux jours.
Jour1, Début Juin

Ils m'ont amené à l'autre entré de péage plus loin, qui était plus achalandé. Ben gros merci la police!

Jour2
À 5h du matin, j'étais déjà en train de stopper. Vers 6h, un mec m'a pris, pour genre 20 minutes, mais sur la route , il m'a offert un café, ça partait bien ma journée.

C'était soit ça, ou un ticket de 50 euros. Finalement, j'ai pris le train pour 11 euros! Je me rendais donc à Porto, là j'avais presque atteint mon but. J'avais pas trop de nouvelles de Raphael et les filles, Marie-Ève et Camille. Enfin arrivé à Porto, j'ai pu lire sur mon iPod Touch qu'ils seraient dans un hostel du centre-ville, vers 9H pm. Il était 8h alors, j'avais tellement tellement hâte de revoir mon pot et les filles aussi, j'étais posté devant l'hostel, les larmes aux yeux. Pendant mon attente, Raph a soudainement sorti sa tête de la fenêtre et dit << Haye Nic!>> J'ai fondu en larmes, j'avais tellement hâte de brosser avec lui!
Nicolas
LUNDI 15 AOÛT 2011
Les Cévennes
Jour1 Vendredi 12 août
On ma dit que c'était un endroit super géniale et vraiment chouette ,dans les montagnes et les rivières.
Pourquoi pas. Je suis parti et arrivé dans cette région, qui est un parc national, avec les yeux fatigué de la route, j'étais sans mot, comme si j'écoutais un film hypnotisant par sa beauté. Voilà, c'était aussi la fête d'un petit village, un méchant trou, qui fait un peu penser à Cabano au Québec, mais en moins bien quand même. Un bar, un resto. Qui, sans concurrence, offrait une ambiance de mononc qui met de la pop avec une toune de the offspring en plein milieu du set. J'étais par contre avec des amis très sympas, avec qui j'ai eu beaucoup de plaisir. À la scène c'était pas mieux, un dj qui mettait des tounes de merdes. J'arrive pas à comprendre pourquoi certains villages, comme Veracruz au Mexique, et là, à Vialas, ils organisateurs mettent n'importe quoi comme musique. Ils devraient plutôt mettre des chansons et ou des musiciens qui font rappelé les coutumes du village. Imaginez qu'à la St-Jean on mettait de Lady Gaga?! Anyway.
Jour2
Le soir, c'était encore la fête du village avec le criss de même bar. Mais au moins à la scène, il y avait un vrai band qui jouait. On est allé rejoindre un peu plus tard d'autres amis près de la rivière où nous allions dormir. Mon pied m'avait prit quand même beaucoup d'énergie, j'étais fatigué. Avoir été en forme j'aurais tripé, Robert asseyait de faire un feu, il y avait une shisha et restait de la bière. Mais bon.
Jour3
Nicolas
LUNDI 8 AOÛT 2011
Les Pays-Basques
Bon aller! Sur la route des Basques. Jour 1, 29 Juillet 2011
Je partais de Toulouse, alors, vous savez, lorsqu'on fait de l'auto-stop, les plus difficile c'est de sortir de la ville. Donc, pour commencer, j'étais déjà sur le mauvais côté de l'autoroute! Un couple de vignerons m'ont alors pris à une station d'essence, ils m'ont convaincue de faire les fêtes de Bayonne. Ils étaient artisans vignoble, donc, pas de boulot pour moi. Arrivé là à Bayonnes, j'ai fait la fête avec des Marseillais drôlement généreux, whisky-cola, et peanuts. Vous savez comment je m'y prend pour rencontrer des gens? Même moi je sais pas, j'arrive et je dis ''aye salut'' pis la avec mon gros sac pis ma guitare, il est évident que je viens pas de la place. Alors, pour passer la soirée, j'ai mis mon stock dans leurs voitures... Alright, léger comme une plume, j'tallé me packté! En allant pisser, j'ai rencontré des amis de mon âge, de l'endroit en plus. Des discussions sur les Basques, des extasies et de la coke. Mais moi, je préférais prendre de l'alcool ceci dit. Internet, c'est un lieu public, on ne peut pas dire n'importe quoi, surtout si je met mon vrai nom. Finalement je me suis bourré et planté ma tente à 6h du matin.
Jour 2
J'étais tellement magané, je voulais juste décrisser de Bayonne. J'ai été à San Sebastian dormir sur la plage. C'est seulement qu'à 40 minutes de Bayonnes, mais ça ma pris au moins 3 heures m'y rendre. Ceci dit, San Sebastian, c'est une magnifique ville, avec sa plage, sa chaleur et sa rivière qui passe au centre-ville. Une petite ville sympathique. J'ai pu trouver à dormir sur une montagne, à 45 minutes à pied du centre. Arrivé là haut, des sans-abris algériens squattaient la place. On a ressemblé notre bouffe et fini par avoir un dîner pas pire. Leurs bouffes venaient des poubelles de supermarchés. Mais c'était pas mauvais quand même! Des drôles de discutions aussi pour alimenter la soirée.
Jour 3
Le lendemain, j'ai rencontré sept Italiens. Ils partaient faire une randonné dans les sentiers de compostel. Je les ai suivi. Sage décision, quel paysages j'y ai vu! J'ai forcé mais eu bien du plaisir. Faut aussi dire qu'ils étais bien sympa et nous sommes maintenant amis. Ça compte 17 kilomètres à pied en fait, de San Sebastian jusqu'à Orio. Quelques photos sur Facebook.
Jour 4
Départ le matin d'Orio, pour aller à Zarauts, 3km. On croyait y faire du surf, mais par manque de chances, il n'y avait pas asser de vagues, donc pas de surf, mais la plage quand même! Le soir, nous prenâmes le train pour se rendre à Mundaka. Vraiment un beau village, la mer et les vallées. C'est réputé pour être un des meilleurs endroit d'europe pour faire du surf.
Jour 5
Pas de chances non plus, pas de vagues et une température de merde à l'horizon. Eux, ils voulaient marché encore un autre dix kilomètres. Moi j'en avais assez, et je commençais à ressentir de la fatigue musculaire. Qui est devenu un bon rhume musculaire. Donc, on s'est séparé. J'ai pris le train et allé a Bilbao. Arrivé là vers 2h pm, je tournais en rond et vu des backpackers, aye salut! Trois allemands aussi sympathiques et ouvert d'esprit. J'ai passé la journée avec eux. Ils m'ont fait prendre mon passeport du chemin del Norte, qui va me servir absolument à rien finalement. Pour dormir, nous avions décidé de prendre un bus et de sortir de la ville. Arrivé là, c'était pratiquement de la science fiction. Une horreur lamentable. Je veux même pas me rappeler le nom de criss de village de pas de couilles là. C'était, sur le coté nord de la ville, un port pétrolier, une raffinerie de pétrole, avec pleins de lumières, c'était plus gros que trois villages. On y était le soir, c'était spectaculairement dégueulasse. J'avais pu de piles pour prendre ça en photo, mais tant mieux. On a marché deux ou trois kilomètres, sur la route qui séparait la raffinerie du village. Avec ma grippe en plus, j'étais écoeuré. Finalement on s'est pogné un trou ou mettre nos tentes.
Jour 6
Je feelais tellement pas, j'ai décidé de revenir à Toulouse. J'ai pris la route en stop. L'autoroute n'était pas tellement loin de notre spot, genre 30 minutes. Mais en Espagne, le stop, c'est difficile. On attend 1h ou 2, parfois pour avoir un lift de 30 kilomètres. Finalement, j'étais rendu à Tarbes vers 20h. Mauvaise surprise, descendue de la voiture, j'ai vu deux filles qui faisaient du stop aussi. Ça faisait 2 heures qu'elles entendaient, deux meufs, ça attend pas 2 heures en France, c'était juste un mauvais spot. J'ai décidé de changer de plan après 15 minutes. J'ai pris une feuille et écris ''Sortez-moi d'ici SVP''. Un couple se sont arrêté après 5 minutes. J'ai accepté de retourner à Pau, pour mieux avancer ensuite. Après discussions sympathiques, ils m'ont invités à voir Yaël Naïm en concert à Pau, et dormir chez eux après. Wow, ça c'est de la chance. Mon tripe Basques se termine ainsi, un concert bien et des gens simplement généreux.
Jour 7
Retour à Toulouse, Charlotte la copine de Ian, le couple qui m'ont pris la veille, m'a emmené à l'autoroute. J'ai écris ''Toulouse'' sur ma carte, en acceptant le fait que j'allais attendre une heure parce que c'est loin. Puis justement après une heure, un policier hors services m'a pris. Quels incroyables histoires j'ai pu entendre en revenant, des histoires de drogues, viols, vols et de violences des banlieues de Paris, où il était affecté.
Voilà!
Nicolas
J'étais tellement magané, je voulais juste décrisser de Bayonne. J'ai été à San Sebastian dormir sur la plage. C'est seulement qu'à 40 minutes de Bayonnes, mais ça ma pris au moins 3 heures m'y rendre. Ceci dit, San Sebastian, c'est une magnifique ville, avec sa plage, sa chaleur et sa rivière qui passe au centre-ville. Une petite ville sympathique. J'ai pu trouver à dormir sur une montagne, à 45 minutes à pied du centre. Arrivé là haut, des sans-abris algériens squattaient la place. On a ressemblé notre bouffe et fini par avoir un dîner pas pire. Leurs bouffes venaient des poubelles de supermarchés. Mais c'était pas mauvais quand même! Des drôles de discutions aussi pour alimenter la soirée.
Jour 3
Le lendemain, j'ai rencontré sept Italiens. Ils partaient faire une randonné dans les sentiers de compostel. Je les ai suivi. Sage décision, quel paysages j'y ai vu! J'ai forcé mais eu bien du plaisir. Faut aussi dire qu'ils étais bien sympa et nous sommes maintenant amis. Ça compte 17 kilomètres à pied en fait, de San Sebastian jusqu'à Orio. Quelques photos sur Facebook.
Jour 4
Départ le matin d'Orio, pour aller à Zarauts, 3km. On croyait y faire du surf, mais par manque de chances, il n'y avait pas asser de vagues, donc pas de surf, mais la plage quand même! Le soir, nous prenâmes le train pour se rendre à Mundaka. Vraiment un beau village, la mer et les vallées. C'est réputé pour être un des meilleurs endroit d'europe pour faire du surf.
Jour 5
Pas de chances non plus, pas de vagues et une température de merde à l'horizon. Eux, ils voulaient marché encore un autre dix kilomètres. Moi j'en avais assez, et je commençais à ressentir de la fatigue musculaire. Qui est devenu un bon rhume musculaire. Donc, on s'est séparé. J'ai pris le train et allé a Bilbao. Arrivé là vers 2h pm, je tournais en rond et vu des backpackers, aye salut! Trois allemands aussi sympathiques et ouvert d'esprit. J'ai passé la journée avec eux. Ils m'ont fait prendre mon passeport du chemin del Norte, qui va me servir absolument à rien finalement. Pour dormir, nous avions décidé de prendre un bus et de sortir de la ville. Arrivé là, c'était pratiquement de la science fiction. Une horreur lamentable. Je veux même pas me rappeler le nom de criss de village de pas de couilles là. C'était, sur le coté nord de la ville, un port pétrolier, une raffinerie de pétrole, avec pleins de lumières, c'était plus gros que trois villages. On y était le soir, c'était spectaculairement dégueulasse. J'avais pu de piles pour prendre ça en photo, mais tant mieux. On a marché deux ou trois kilomètres, sur la route qui séparait la raffinerie du village. Avec ma grippe en plus, j'étais écoeuré. Finalement on s'est pogné un trou ou mettre nos tentes.
Jour 6
Je feelais tellement pas, j'ai décidé de revenir à Toulouse. J'ai pris la route en stop. L'autoroute n'était pas tellement loin de notre spot, genre 30 minutes. Mais en Espagne, le stop, c'est difficile. On attend 1h ou 2, parfois pour avoir un lift de 30 kilomètres. Finalement, j'étais rendu à Tarbes vers 20h. Mauvaise surprise, descendue de la voiture, j'ai vu deux filles qui faisaient du stop aussi. Ça faisait 2 heures qu'elles entendaient, deux meufs, ça attend pas 2 heures en France, c'était juste un mauvais spot. J'ai décidé de changer de plan après 15 minutes. J'ai pris une feuille et écris ''Sortez-moi d'ici SVP''. Un couple se sont arrêté après 5 minutes. J'ai accepté de retourner à Pau, pour mieux avancer ensuite. Après discussions sympathiques, ils m'ont invités à voir Yaël Naïm en concert à Pau, et dormir chez eux après. Wow, ça c'est de la chance. Mon tripe Basques se termine ainsi, un concert bien et des gens simplement généreux.
Jour 7
Retour à Toulouse, Charlotte la copine de Ian, le couple qui m'ont pris la veille, m'a emmené à l'autoroute. J'ai écris ''Toulouse'' sur ma carte, en acceptant le fait que j'allais attendre une heure parce que c'est loin. Puis justement après une heure, un policier hors services m'a pris. Quels incroyables histoires j'ai pu entendre en revenant, des histoires de drogues, viols, vols et de violences des banlieues de Paris, où il était affecté.
Voilà!
Nicolas