jeudi 5 janvier 2012

Aller simple, Québec.

Pour ceux qu'il ne le savait pas encore, je pris un vol le 22 décembre 2011 pour Montréal.
L'hiver européen ne m'enchantait pas trop, j'ai décidé de revenir à Québec.
C'est drôle, j'ai plus besoin de réfléchir à savoir où je vais dormir.
J'ai bien trippé partout où j'ai passé, j'essaie toujours de voyager autour de moi-même.
Quand on est en voyage, on est tellement dans un esprit libre et léger, c'est en fait un partage de libertés.
Je suis tellement content d'avoir pu rencontrer autant de bonnes personnes, dont plusieurs que j'ai envie de revoir.

Aujourd'hui à Québec, il fait frette. Quand il fait moins 20 degrée, on ne dit pas il fait froid, on dit ''y fait frette''.
J'étais à Rome, au soleil à 20 degré, j'étais heureux de quitter. J'ai quitté la tête émerveillé et pleines d'idées, continuer aurait dilué ce que j'avais déjà vécu.

Sans surprise, c'est mon dernier message sur ce blog, je tiens à vous remercier tous, tout ceux qui ont pu m'aider, me hoster, me donner un lift, c'est un gros milkshake de bonheur.

Plusieurs me demandent c'est quoi ton endroit favoris, le réponse est la liberté!
Vive la liberté, vive l'indépendance!

Liberté au basques! Liberté au catalans! Liberté au québécois!

Plus le monde est différent, plus le monde est beau.

À la prochaine fois.

Nicolas

vendredi 23 décembre 2011

Roma...

Roma!

Et bien, ça fait deux semaines que je suis à Rome, j'ai pas trop envie de partir!
Par contre, comme Paris, Rome, des trouristes, y'en a en criss.
Anyway, je me suis fais chumé avec la gang de la cuisine du squat Forte Prenestino.
Ce squat là, il est malade. C'est un forteresse, avec deux bars, une grosse cuisine, une salle de concert, un dortoir, et plus encore.
Alors donc, j'ai pu dormir là quatre jours, et là je suis chez des amis, Federica et son chum Matteo.
Donc à Rome, rappelez-vous du squat Forte Prenestino.

Évidemment, quand tu vois le Colisée de Rome, c'est hot en criss. C'est une des grosses patentes les plus hot que j'ai vu, construit il y a 2000 ans!
Ben la, c'est sur, rome ya du stock partout, c'est un musée à ciel ouvert!
Mais par contre les Romains sont pas trop bon côté transport en commun, deux lignes de métro, fouillis de bus et de tram, et en plus ils osent faire des journées de grèves!
J'aime bien Rome, quand on sort du centre touristique, les quartiers sont aussi cool, y'a toujours quelques monuments un peu partout, qui partagent le milieu de vie du vrai monde.

Pour Rome, j'en dit pas plus, j'ai été content de partager des bon moments avec Federica et Matteo, ce fut un plaisir. En passant Mattéo est un super bon guitariste, j'ai même pu le voir en concert dans un bar.

Demain matin je quitte pour Trani, la ville a Cristina!
Je passerai alors mon Noël chez sa famille.
Ensuite je ne sais pas si je prendrai le ferry pour la Grèce, ou bien continuer jusqu'en Sicile.

Désolé, je ne suis pas trop inspiré, mon texte est pourri.
Par contre, je tiens à souhaiter un joyeux noël à tout le monde.

Vous savez que ça fait un bout que je voyage, 8 mois et demie, quand je regarde autour de moi, tout le monde vont dans leurs familles, planifient des party pour le nouvel an avec leurs meilleurs amis. Étant sur la route, je peux dire que je m'ennuie de ma famille.
Donc profitez-en dont pour avoir du bon temps, en famille ou entre amis.

Ciao bello,

Nicolas

lundi 5 décembre 2011

Italia Bellissima!

Italia Bellissima!

Le fameux départ de Padova pour Florence.
Je n'ose même pas en parler, c'était du broches-à-foin de A à Z. On s'était fait dire par un cycliste qu'il y avait un meilleur spot, à la station service à 2 km. Alors, juste pour s'y rendre, il fallut traversé un quartier résidentiel à la Californienne, puis traverser une clôture... le plus long 2km de ma vie.

Ce beau samedi ensoleillé complètement scrapé... La station service était en train de fermé (WTF?) Puis Kerri à demandé à la dernière personne, une caravane, de nous sortir de ce trou là. J'arrête les détails, sinon... Finalement on a réussit à se rendre à Bologna, à mi-chemin de Firenze, puis prîmes le train.

Cette journée là, une des plus longue de ma vie.
Fallait débarquer à Pistoia, parce que notre host de couchsurfing habitait là. Pistoia, c'est une ville à 30 km au nord de Florence. Mais, on se rendait à Florence dans l'ignorance, on devait s'arrêter avant.

Alors, arriver à Florence, on était posé devant le Duomo (Dome), en attendant notre host qui devait venir nous chercher, mais il nous attendait au Duomo de Pistoia.
Puis un appel, puis on se dirigeâmes vers la gare encore. Mais là, pendant que notre train était en train de partir, on voyait que les deux autres après étaient annulés. Si on c'était pas pogné le cul, on aurait pas attendue 3 autres heures. Finalement, on a pu voir un peu de Pistoia, et le lendemain Firenze. On a trouver un squat, pour dormir et faire quelques activités. La première personne à qui j'ai parlé dans ce bâtiment, Filippo, m'a tellement fait confiance, me donnant les clefs du Squat. J'ai tellement aimé ce squat là, le repas style familiale avec des vieux communiste, les esprits de bon vivants. Dans le bâtiment, qui était une ancienne école primaire, il y avait une salle de cinéma, deux bars, une salle de concert, un gym, la grande cuisine et deux chambres pour dormir. Alors, la belle température, la pizza, il vino, et les calice de touristes. Même en fin novembre ils sont là. On dirait que c'est comme des mouches à marde. C'est toujours drôle de voir un groupe de touristes, y'en a toujours quelques-uns qui se calicent de ce que le guide raconte, avec le gros appareil photo dans le cou, se disant que c'est à cause de leurs femmes qu'ils sont là. Sa parait très bien qu'ils préféreraient se faire sucer par une pute sur plage au Venezuela que de se geler le cul devant une église qu'ils auront oublier rendu au souper.

Présentement, je me trouve à l'Ecovillaggio Ciricea. Je dois d'abord remercier Katarina, pour m'avoir mis en contact avec Beatrice, qui m'a accueillit dans sa merveilleuse communauté. Ici, on trouve que des personnes formidables, tous avec un grand coeur. J'essaie toujours d'apprendre l'italien, qui est plus dure que je croyais. C'est vrai que ça ressemble au français, mais les mots ne viennent pas.
Alors, ce que je fais ici, ça s'appelle du ''Woofing''. C'est un échange de services, environ 4-5 heures par jour, en retour, ambiance magique, les montagnes, les animaux, la paix, la campagne, la bouffe tellement bonne. Je me sens tellement bien, à relaxer quelques jours. Ils ont un jeune chien, Sisma, il pisse et chie partout et moi ça me fait rire.
Alors, pendant que je m'imprègnes de la culture italienne, je vous souhaites un méchant mois de décembre, plein de magasinage, de dépenses qui servent à rien sauf peut-être pour quelques-uns qui trouvent que c'est un bon moyen d'essayer de mettre une valeur monétaire pour l'amour ou le respect qu'on a pour quelqu'un. Aussi, bonne lecture! pour ceux qui feuillettent les Walmart, Canadian Tire, Ikea et Best Buy. En passant, que t'achètes n'importe quoi chez Best Buy, c'est toujours le meilleurs achat!

Nicolas

vendredi 25 novembre 2011

Vers l'Italie

Vers l'Italie

Départ de Budapest
De Budapest vers Zagreb. Un grand calvaire.
J'ai un ami qui voyage aussi, un français nommé Nicolas, que j'ai rencontré à Toulouse. Je le salue d'ailleurs, meilleurs guitariste que moi, c'est son outil de voyage! Donc, il était à Zabreb depuis quelques temps, il a d'ailleurs trouvé un ''Squat'' où j'ai pu squatté!
Mais, la route... J'étais bloqué à une station service, il faisait froid... J'étais gelé. J'ai vu une auto plaqué Slovénie, j'ai demandé au bonhomme qui ne parlait pas anglais, d'aller me porter à la frontière de la Croatie. Ce qui est pour lui un détour de 5 kilomètres.
Quand le policier m'a vu, il était pratiquement sur le choc. Je ne pouvais carrément pas être là. Il m'a dit de marché plusieurs kilomètre à l'autre frontière où il y a la route national, et non pas l'autoroute. C'est bien simple, c'est interdit de faire du stop sur l'autoroute, et encore plus traversé les douanes à pied sur l'autoroute! C'était relativement très cocasse de traversé les douanes à pied, les policiers riaient de moi, mais il ne m'ont pas fouiller, ils m'ont plutôt tous rappelé comment il faisait froid au Canada. ''Canada cold Canada cold hahaha''
Après les douanes, il fallait que je marche encore pour joindre l'autoroute. Surprenamment, elle était déserte. Aucune auto passait, je regardais le soleil qui voulait se coucher. Je marchais et marchais sur le bord de l'autoroute. Après peut-être 30 minutes, une auto a passé, j'ai été surpris, j'ai montré ma pancarte à la dernière seconde, puis l'auto, après 200 ou 300 mètres, s'est arrêté. J'ai couru le sourire au lèvres, j'étais tellement content.

Zagreb
Devant le cheval de la place principal, j'ai retrouvé mon ami Nicolas. J'étais vraiment heureux de le revoir. J'étais tellement excité et curieux de voir ce fameux squat. Aller! À l'intérieur, c'était pratiquement parfais. Des belles filles, des gens super ouvert, cool, musiciens n'importe quoi. Le petit truc, c'est qu'il faisait froid. C'était pas chauffé, dans notre chambre, la nuit, il devait faire autour de 0 degré. Je mens pas, quand je mettais mon linge le matin, il était gelé. J'avais mon sleeping +10 degré, et deux autres couverte, je dormais habillé et j'avais froid. Un autre guitariste Croate s'appelait Nicolas. Il voulait tellement que je le prenne en photo. Un matin, on est allé au marché des gypsis, avec l'auto d'une russe.
De la cochonneries, il en avaient. Y'avait même un DJypsi. Criss qu'il faisait frette, la russe m'a donner les clefs de son char pour que je me réchauffe. J'avais réalisé que ça faisait huit mois que je n'avais pas conduit.
De là venait l'idée de faire le tour du parking, dans un char russe en Croatie.
Ensuite, j'ai rencontré Kerri, née en Ontario, vécue à Vancouver et en Californie. Une nouvelle partenaire pour faire du pouce et voyager.

Ljubljana
Ça super bien été pour aller à Ljubljana. Deux autos. En tout, moins d'une heure d'attente.
Notre host était cool, on fumait des joins et on faisait des tours d'auto. Cependant, cette charmante petite ville était pris par le brouillard.


Italie
J'appréhendais l'Italie comme étant dure pour faire du pouce.
Alors pour nous rendre à la frontière, super facile.
Mais là à Koper, pour traversé... horrible. Un truck à pourtant essayé de s'arrêter pour nous.
Après, on a eu un lift d'une vingtaine de kilomètres, et nous étames enfin en Italie. C'est drôle comment la température avait changé aussi rapidement d'un endroit à l'autre. Il calore d'Italia!
Bon 2 heures d'attente, puis on a eu un lift pour Venice. D'où on a prit le train pour Padova.
Aujourd'hui à Padova, il a fait autour de 16-17, avec le soleil, j'ai pu me mettre en t-shirt. Et en plus, j'ai pu revoir Lucia!
J'ai acheté un dictionnaire français-italien, mon désir d'apprendre l'italien est toujours fort présent. Il y a de très bonnes chances que j'aille aider sur une ferme. Le projet est nommé écovillage. J'ai hâte de voir ça. Mais avant, petit tour à Venice, parce que mon ami Kerri n'y a jamais été, puis c'est juste à 10 km d'ici! Puis samedi, Florence!

Ciao Belo!

Nicolas


jeudi 10 novembre 2011

Ha le nord!

Budapest, Mercredi le 16 novembre 2011

C'est pas un nouveau message officiel, mais un ajout, à l'autre.
Je préfère faire comme ça.
Donc, la route pour Vroclav, quelle aventure.
Il commence à faire froid, les gens voyagent moins, de plus petites distances. Après trois heures d'attente à Varsovie, j'ai décidé de revenir et prendre l'autobus.
En montrant ma pancarte en revenant, un char c'est arrêté... Lucky guy. Il faisait le tier de mon chemin.
Après j'ai fais du stop dans la noirceur et la froideur, mais j'ai juste attendue 10 minutes et un char m'a pris, et il m'ont posé à un très bon spot, pour continuer ma route. Et là, un groupe de musique m'a pris. Ça c'était cool, on parlait de musique, de voyage, ils allaient en Croatie quelques jours plus tard pour faire un show, malheureusement, il n'avait pas de place pour moi.
Alors, j'ai resté quelques jours à Vroclav.
J'aimais bien l'ambiance de la ville. Beaucoup d'étudiants, c'est cheap et c'est bon. Si j'avais le choix, j'étudirais dans cette ville là, quoi que Lublin c'est bien aussi.
Par contre, dimanche, j'ai fais du stop, mais, sans succès. La première fois de mon voyage.
J'ai atendue 5 ou 6 heures sur le bord de la route. J'allais à Brno. J'ai vu peut-être 5 gros chars autrichiens, et 10 chars Tchèque, c'est vraiment pas beaucoup en 5 heures. J'étais gelé, et le soleil se couchat déjà. Je suis revenu affamé à l'appart de Julia qui m'hébergeait, j'étais lendemain de brosse, j'avais rien mangé. Justement étant donné que j'avais bu, je m'étais levé un peu tard, bien pocké, dans l'autobus, je dormais et j'ai manqué mon arrêt. On m'avait dit que c'était le dernier arrêt où je devais descendre, mais c'étais un bus X, qui faisait 3-4 arrêts de plus dans une banlieu. Je riais pas pantoute. Donc le lendemain, j'ai fais une journée complet de train, pour faire 4 heures normal de route. Après les gens me demande ''Pourquoi tu prends pas le train?'' En été, c'est plus long, les trains sont packtés à mort, tu payes et c'est aussi compliqué rejoindre la station de train que le spot ou poucer.
Alors, Brno, c'est une belle ville, avec des gypsis, des belles filles et des bars le fun. Les pubs sont vraiment nice, tu manges et tu bois puis c'est pas chère. Très belle ambiance étudiante, encore une fois je change mon fusil d'épaule, je voudrais bien étudier là!
Ce matin, je suis parti faire du stop, pour aller à Budapest. Sincèrement et tristement, après seulement une heure, j'en pouvais plus. Il faisait particulièrement froid ce matin. J'étais gelé ben raide. J'ai pris le tram, et j'ai pris un bus pour Budapest. Ça m'a couté environ 20$. Arrivé à la gare d'autobus, j'ai rencontré une québécois, ça m'a fait tellement de bien. Elle était un peu plus agé que mois. Mais les discussions finnissaient plus, mais elle devait prendre le bus pour la Bulgarie.
Alors là, je suis parti pour le centre-ville de Budapest.
J'ai acheté un billet de métro, honêtement, avec bonne atitude comme quoi je n'allais pas fourrer la ville.
Après quatre simple stations de métro, j'ai descendue et été contrôlé.
Le contrôleur me regardait puis voulait voir mon billet. ''Le v'là mon billet''
Il l'a regardé, puis assayait de me dire que mon billet était mauvais.
J'ai assayer de dire qu'on s'en câlice, j'ai fais une erreur, j'ai un billet, j'ai pas voulu te fourrer.
Et là il s'est mis à dire '' Give me six thousand please, give me six thousand please''  (26$Can)
''Fuck I'm honest, I didnt wanted to be wrong''
''Give me...''
Là j'suis parti à courir avec mon sac de 60 livres dans l'escalier mécanique, j'ai poussé un bonhomme de 60 ans j'pense, après les gens m'ont vu et se sont tassé.
En haut, j'ai tourné la tête, le contrôleur était baisé.

Je bois une petite bière hongroise, voilà.

Salut!

Nicolas



Bonjour tout le monde, merci de lire mon blog, c'est très apprécié.

Alors, je viens d'arriver à Vroclav, en Pologne toujours.
J'ai un peu hâte de partir vers le sud, le froid, le soleil orange à 15h et les routes polonaise me fatiguent.
Quoi qu'en Italie, le stop c'est pas mieux!
C'est un jeu de chances et malchances, parfois tu lève ton pouce, il y quelqu'un qui s'arrête. D'autres fois tu gèle pendant trois heures, tu reviens prendre l'autobus parce t'en peux plus, puis, quelqu'un s'arrête.

Alors, je n'ai pas écris encore sur le match de la KHL que jai vu à Riga. Dans les équipes, je n'ai pas vu un joueur qui pourrait jouer dans la ligue national. Le vieux Sandis, il est fini, mais il est pourtant le capitaine de l'équipe. Peut-être un des meilleurs pourrait se défoncer et jouer sur le 4e trio du Canadiens, Petteri Nokelainen par exemple.
Pis après au bar, quand il y a quelqu'un qui s'ostine avec toi, qui dit que la KHL c'est comparable à la NHL, la réalité est tellement pas la même que j'avais du mal à argumenté. J'étais fru un peu surtout que le bar en question n'avait plus de bières à vendre. ???
Artti, Tallinn
Mais en gros, c'était une exprérience inoubliable, je me sentais comme un enfant qui va voir sa première vrai game de hockey. Avec la gang avec qui j'étais en plus, motivés et c'était leurs premier match de hockey aussi, on s'est plutôt bien amusé.

Tallinn.
Une des villes les plus crasse que j'ai vu. On m'a dit que c'était chère... pas du tout. On peut avoir un croissant avec du jambon dedans pour 25 centimes. T'en mange trois et tu es bourré. Mon host de couchsurfing était weird un peu, mais c'était toute une expérience.
Il n'avait pas d'eau chaude, pas de douche ni de bain, pas de lit pour lui même, pas de table, pas de chauffage! Mais crime, c'était aussi un voyageur, plutôt minimaliste! Grâce à lui, j'ai pu travailler un peu, il m'a hébergé deux jours de plus sans problèmes.

Tallinn
Je suis retourné à Vilnius pour une nuit, mon but était de descendre le plus vite possible les pays baltes.
J'ai entendue je pense deux heures, mais j'étais gelé et désespéré. J'ai marché les dix minutes qui me séparaient de l'arrêt d'autobus, toujours avec mon pouce. Puis avec le plus grand étonnement, une char s'est arrêté. J'avais écris Riga, parce c'était à mi-parcours. Le mec m'a demandé, un coup assis dans l'auto, '' Tu vas faire quoi à Riga?'' ''En fait je vais à Vilnius'' ''Et bien moi aussi!'' Ça c'est de la chance, 600 Km à relaxer assis au chaud dans une auto.
Après avoir passé une belle soirée avec Elzbieta et ses amis, le lendemain, j'ai toute suite allé à Kaunas.
J'ai même pas entendue, un couple qui parlait pas anglais m'ont pris. D'ailleurs, le mec m'a offert deux bières durant la route.
J'ai été hebergé chez une famille, les deux frères super cool m'ont emmené dans leur bar préférés. J'ai pu rencontrer leurs amis, boire un peu et rêver comme je le fais toujours. J'ai resté là juste une nuit, j'ai un peu hâte d'aller vers le sud!

La route pour Varsovie.
La mer de la Lettonie
Ostie. Après deux heures d'attente, au froid, un camionneur m'a embarqué. Le mec était vraiment content, il était tellement étonné d'avoir ramassé un Québecois.
À la frontière, il a eu des petits problèmes de paperasse, et en Pologne on s'est fait contrôler par les douanes. Je pense en 1h30, on a roulé 5km. Il y a pleins de construction partout, pour la coupe européenne de football en 2012, donc congestions à fond.
En réalité, le truck n'allait pas tout à fait à Varsovie, mais à une ville que je me calice, à 30Km à l'est.
L'automne à Varsovie
Donc à 20h le soir j'ai fais du pouce, au noir, la premìère fois de ma vie, mais je crois les gens ne deviennent pas fou parce qu'il fait noir.
Enfin à Varsovie, cette grande ville froide et laide qui se met toujours sur ma route, j'y ai pu retrouver mes énergies chez Xavier, un bon français accueillant.
Merci la coloc!

Et voilà, je continue tranquilement ma route vers la belle Italie.

Et à suivre... La route pour Wroclaw (Vroclav)